mardi 11 mars 2014

Quand l‘ami(e) devient un frère, une sœur



A tous ces amis qui valent mieux qu’un frère,
Ceux qui me supportent malgré mon sale caractère,
A tous ceux qui pardonnent mes erreurs,
Et qui font de mes problèmes de cœur les leurs.

A ces amis que plus d’une fois j’ai offensé
Ceux qui ont été déçu par mes agissements déplacés,
Aux victimes de mes blagues désagréables,
De mes humeurs et comportements inqualifiables.

A toi cet ami qui vaut mieux qu’un frère,
Toi qui te sens visé par mes vers,
Je te dis infiniment merci pour ta présence
Aussi bien dans mes heures de joie que de souffrance.

Je reconnais ne pas être un homme sans haine,
De m’être emporté pour des choses qui n’en valent pas la peine,
Pardon d’avoir fait des choses qui dérangent,
Mais comme tu le vois, je ne suis pas un ange.

Pardon pour mon absence quand t’avais besoin d’un ami
Pardon pour les promesses tombées dans l’oublie,
Pardon pour les services non rendus,
Pour cette main que je n’ai pas toujours tendue.

A toi cet ami, cette amie,
Qui m’as accordé une place dans ta vie,
C’est à toi qu’en ce jour j’écris,
Pour te demander pardon mais aussi te dire merci.

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